Stadium Manager : Romain BARNAVE Le premier groupe de supporters affilié au Stade de Reims, baptisé « Allez Reims », est fondé le 19 juillet 1935. En outre, la réserve rémoise remporte à son tour le championnat de France amateur[u 4],[a 4]. Ismael Boura (Lens) right footed shot from a difficult angle and long range on the left is close, but misses to the left. En juin 2006, le journal L'Équipe publie un sondage surprenant indiquant que le Stade de Reims reste le troisième club préféré des Français[83]. Les deux compères font du Stade de Reims le club le mieux structuré de France[45] et y attirent les meilleurs éléments du pays (Jonquet, Flamion, Marche, Sinibaldi, Jacowski, Bini et Penverne...). Jean-Pierre Caillot, partenaire financier depuis 1993 et vice-président depuis 2001, est élu président le 14 mai 2004. Le départ de l'emblématique entraîneur marque la fin de l'heure de gloire du Stade de Reims et de son « football champagne »[26], bientôt remplacés au sommet du football français par l'AS Saint-Étienne, dont Batteux est nommé entraîneur en 1967. La stabilisation en Ligue 2 est incarnée par le maintien de Thierry Froger, sur le banc de 2005 à 2008, et par la reconstruction progressive du Stade Auguste-Delaune entre 2004 et 2008. Qualifiés à ce titre pour la première édition du championnat de France amateur, les Rémois écartent notamment Quevilly (3-2) et atteignent la finale du championnat. Abonnement : carte ou chéquier de billets offrant un droit d’accès à son titulaire, dénommé Abonné ou à la personne à laquelle ce dernier l’a cédé dans les conditions de l’article 5.3, à l’ensemble des Matchs de Championnat de France de Football (Ligue 1 Uber Eats ou Ligue 2 BKT), disputé par l’équipe professionnelle du Stade de Reims à domicile. Face à la situation financière alarmante du club, c'est un tandem d'anciens, Léon Desmenez et Robert Jonquet, qui reprend le flambeau. Le club fait alors appel à Émile Rummelhardt, un entraîneur expérimenté et rigoureux, porté sur le travail physique[57]. Le nouvel entraîneur est écarté dès le mois de décembre, son équipe atteignant la trêve hivernale avec douze points seulement. Cette dernière saison, le RC Paris et Reims, vainqueur de son dernier match 5-1, terminent en tête à égalité de points et avec la même différence de buts - malgré la meilleure attaque du Racing, le titre est décerné aux Rémois à la moyenne de buts[25],[u 6]. Elles s'inscrivent logiquement à la première édition du Championnat de France de football féminin, en 1974-1975, qu'elles remportent très largement (8 victoires en autant de matchs, 38 buts pour, 3 contre...)[f 3]. AP. Ses membres sont recrutés parmi le personnel de l'établissement vinicole, mais aussi parmi les employés des fournisseurs : vignerons, tonneliers et charretiers. Le 18 juin 1931 est officiellement enregistrée l'association loi 1901 omnisports « Stade de Reims », dont la direction de la section football est confiée à René Humbert[7],[8]. En 2003, le club fait appel à Ladislas Lozano. Avec la promotion dans l'élite, le budget prévisionnel du Stade de Reims passe à 24 millions d'euros, du fait notamment de l'importance des droits télévisés. Le « Stade de Reims » naît le 18 juin 1931 sur les fondations de la « Société sportive du parc Pommery », fondée en 1910. Il est l'emblématique capitaine de l'équipe évoluant en première division dans les années 1970. Cependant, Reims termine à la 11e à 1 point de la dixième place. Longtemps partenaire majeur du club, Jean-Pierre Caillot devient Président de la SA Stade de Reims au mois de juillet 2004. L'été suivant, l'ancien professionnel Tony Giannetta revient comme entraîneur-joueur et fait remonter le club en National 3 pour sa première saison sur le banc. 0 . Getty Images. Vexé par la faible affluence du premier match de la Coupe des clubs champions européens en 1955 disputé par les Rémois face à l'AGF Århus (5 845), le président Germain fait déménager l'équipe à Paris pour les grandes affiches, notamment européennes, au stade de Colombes ou plus souvent au Parc des Princes[44], où les affluences dépassent régulièrement les 35 000 spectateurs[a 12],[81]. En 1938, la fusion avec le Sporting club rémois, le grand rival local au maillot rouge et blanc, donne un nouvel élan à l'ensemble, qui est promu en première division à la sortie de la guerre. Cette même année, les Rémois s'inclinent en quart de finale de la Coupe de France sur le terrain d'une équipe de D2, l'AS des Charentes. En 1939 le groupe sort un premier bulletin éponyme. FIFA 21 Stade de Reims Goalkeepers. À la fin des années 2000, plusieurs groupes de supporters coexistent[108] : Les supporters rémois nourrissent traditionnellement une rivalité particulière avec ceux de Sedan, sur fond de domination régionale. Le Stade de Reims a remporté plusieurs des compétitions amicales, nationales ou internationales, auquel il a pu être invité, notamment du temps de sa période dorée. Après presque sept années de travaux, l'ex-vélodrome laisse place en août 2008 à un stade rénové, modernisé et agrandi, dont l'architecture se veut inspirée des stades « à l'anglaise », avec des tribunes au plus près de la pelouse[82]. LYON LYON. Ses succès, notamment la quête du Championnat de France amateur en 1939 et 1948 ainsi que la finale du championnat amateur disputée à l'US Quevilly en 1954, préfigurent la période dorée connue par le club dans les années 1950 et 1960. Le déclenchement de la Seconde Guerre mondiale et la mobilisation de septembre 1939 perturbent le lancement de la saison 1939-1940. Le Stade de Reims y avait pris depuis 1931 la suite de la Société Sportive du Parc Pommery, résidente dans ces dernières années du stade d’honneur, d'une capacité de 5 000 places[2]. Le stade Delaune est déserté progressivement par les supporters, aggravant la baisse de ses recettes. Au moment du dépôt de bilan en 1978, les deux groupes « Allez Reims » et « AMI Reims » se partagent les tribunes et virages du Stade Auguste Delaune[106]. Stade de Reims secured the Ligue 2 title and a return to the French top flight after beating Ajaccio 1-0 on Friday night. Le Stade connaît dès 1967 une nouvelle relégation, en dépit du remplacement de Jonquet en avril. Le Stade de Reims repart en DH. Industriel de la région, anciennement chargé du sponsoring au club, il reste aux manettes jusqu'à son décès brutal en janvier 1996[u 13]. S'il ne fait d'abord pas mieux sur le terrain, il exploite ses relations pour aider le club. En janvier 1978, alors que l'équipe est relégable, Flamion laisse sa place à son adjoint, l'ancien gardien de but rémois Jean-Claude D'Arménia. En 1943, « Gara » fait son retour à Reims, en tant qu'entraîneur de l’éphémère équipe fédérale Reims-Champagne. Par ailleurs, dix-neuf autres joueurs ont été sélectionnés avant ou après leur passage à Reims. Il en est libéré en 1940, ce qui lui permet de fuir dans le sud du pays[a 6],[11]. Il forme, avec Jean-Pierre Caillot, un solide binôme pour aider le club à grandir. Pourtant, ils réalisent de nouveau un parcours notable en coupe de France, en ne se faisant éliminer qu'en huitième de finale par les rivaux du Club sportif Sedan Ardennes (1-1, 4-5 tab). En 1953, les Rémois remportent le championnat sans conteste, présentant la meilleure attaque (grâce notamment aux réalisations du seul étranger de l'équipe, l'international néerlandais Bram Appel, qui a glissé sur le côté droit pour laisser l'axe à Kopa[8]), et la meilleure défense. Avec six titres de champion de France, le Stade de Reims est le septième club le plus titré du pays, derrière l'AS Saint-Étienne, l'Olympique de Marseille, le FC Nantes, l'Olympique lyonnais, le Paris Saint-Germain et l'AS Monaco[47]. Après un premier maintien confortable, il est licencié en avril 1972 alors que son équipe est menacée par la redescente. Les Avignonnais n'offrant pas les garanties financières nécessaires à l'accession dans l'élite à ses yeux, la Fédération française de football décide de faire bénéficier au Stade de Reims la place restante « en fonction de son illustre passé »[10]. L'équipe première évolue au sein du Championnat de Ligue 1. Les entraîneurs se succèdent et l'effectif rémois, fortement remanié, ne parvient plus à sortir de l'anonymat du milieu de tableau. Compte tenu du lancement imminent du football professionnel en France et des ambitions croissantes des dirigeants, il est décidé d'autonomiser le club de la maison Pommery ainsi que de séparer les activités de football des autres sections. Il est battu en 1987, signe du soutien populaire toujours important dont bénéficie alors le club, avec 27 774 spectateurs payants pour la venue de l'Olympique de Marseille en demi-finale retour de la Coupe de France le 2 juin 1987. Ce dernier échoue à son tour à décrocher une promotion dans l'élite, son équipe terminant au 4e rang en 1986 et 1987. Directeur de la formation : Yannick MENU Malgré de bonnes premières journées, le restant de la saison est très difficile pour Reims qui pointe à la limite de la zone rouge en toute fin de saison. Les affluences à l'extérieur sont d'ailleurs notablement supérieures à celles à Reims[note 6]. Il quitte pourtant la Champagne à l'intersaison ; Desmenez reprend du service quelques mois puis laisse sa place en mars à son collègue Michel Leblond, un ancien joueur rémois chargé de la formation depuis plusieurs années. Ils l'emportent notamment à Delaune sur les futurs champions stéphanois lors d'un match de championnat de toute beauté (3-2)[10]. Raymond Kopa fut président d'honneur du stade de Reims. Les joueurs ont interdiction de dégager n'importe comment ou même de lancer de grands ballons vers l'avant, même pour le gardien de but qui dégage en bras roulé ou transmet la balle à la main : l'objectif est de fournir le plus de ballons possibles à la redoutable ligne d'attaque, afin de marquer plus de buts que l'adversaire[44]. ( moy. Malgré son remplacement à mi-saison par l'expérimenté Jean Prouff, de retour de deux ans au Standard de Liège, le Stade est relégué. Directeur administratif et juridique : Julien TURPIN C'est après la Seconde Guerre mondiale que l'enceinte est baptisée en mémoire d'Auguste Delaune, un sportif normand mort sous la torture de la Gestapo le 13 septembre 1943. S'il est difficile d'identifier un style de jeu caractéristique du Stade de Reims depuis la création du club, ce dernier est marqué par le « football champagne » déployé par le « grand Reims » et développé par Albert Batteux. 4.1 ) Buts de l'extérieur de la surface 6 ( moy. En 1956-1957, l'affluence moyenne à Reims se monte à 7 351 spectateurs, contre 15844 lors des matchs du Stade de Reims à l'extérieur. Le Stade de Reims équipé par le danois Hummel International pour la saison 2015-2016 se tourne vers l'équipementier français Hungaria Sport pour la saison 2016-2017. Le tableau suivant recense l'ensemble des joueurs faisant partie de l'effectif du Stade de Reims pour la saison 2020-2021. Un an plus tard, il est remplacé par Élie Fruchart, venu du RC Lens, qui n'obtient pas mieux qu'une 4e place... qui permet pourtant la remontée des Rémois dans l'élite au bénéfice de décisions administratives. L'équipe rémoise termine la saison à la sixième place de D2 mais, en l'absence de repreneur, est reléguée administrativement par la Direction nationale du contrôle de gestion. À l'image de son équipe première, l'équipe réserve ne fait plus parler d'elle par la suite. Elle est complètement détenue par des actionnaires privés et n'est pas donc pas liée financièrement à l'association. Après une première saison prometteuse, il part en septembre 1980 après six matchs seulement. Il arrête sa carrière en 1967 sur un bilan de 463 matchs et 99 buts sous le maillot rémois toutes compétitions confondues (dont 346 matchs et 75 buts en première division)[70]. Ligue Europa - Suivez en live la rencontre de Football opposant MOL Fehérvár FC et Stade de Reims. Les rencontres entre les deux clubs sont parfois qualifiées dans les médias de « derby de Champagne-Ardenne »[111]. Jonquet arrête à la fin de la saison, puis Desmenez l'été suivant, après une saison frustrante : l'équipe, en tête à mi-saison, perd pied au printemps et termine 6e. L'entraîneur est à chaque fois Albert Batteux. Le duel forge son histoire à la fin des années 1950, quand l'« UA Sedan Torcy » et le Stade de Reims comptent parmi les meilleures équipes du pays[113]. Malgré l'inespérée sixième place obtenue par les hommes de Didier Notheaux, et leur victoire en Coupe d'été (connue également comme la « Coupe de la Ligue ») en 1991, les caisses restent désespérément vides. Alors qu'il reste 13 journées à disputer, Reims est 7e à 3 points des places européennes (à titre de comparaison, Reims était à la 17e place, au même moment, l'année dernière à 1 point de la 18e place). Le groupe compte ainsi bon nombre de Rémois, anciens ou actuels : Robert Jonquet, Armand Penverne, Raymond Kopa (au Real Madrid depuis 1956), Just Fontaine, Roger Piantoni et Jean Vincent sont titulaires, Roger Marche (au RC Paris depuis 1954) et Dominique Colonna remplaçants. Le travail structurel entrepris porte aujourd’hui ses fruits. Première organisation du genre dans la région, la SSPP est un exemple typique d'association sportive corporative, présidée en personne par le marquis Melchior de Polignac, propriétaire de l'entreprise[1]. L'entraîneur Roessler démissionne en 1950. Le Stade de Reims repart en Division d'honneur du Nord-Est, 6e échelon du football français, d'où il lui faudra dix saisons pour remonter en Ligue 2, où il se stabilise. En gravissant les échelons sportifs, il reprend de l'ampleur et rebâtit progressivement une structure professionnelle. Celui-ci est remplacé par Jean-Luc Vasseur (US Créteil-Lusitanos). 64 HAN. Emmené par son redoutable buteur Pierre Sinibaldi, le Stade est le dauphin du CO Roubaix-Tourcoing en 1947 - les Nordistes enlèvent le titre grâce à une victoire décisive à Reims en fin de saison[12]. Bianchi s'en va, remplacé par l'ancien international Dominique Bathenay, renvoyé après un an. 4y Associated Press. Le Sporting souhaitant à son tour adopter le statut professionnel, la Fédération invite les deux clubs à s'entendre. Les affluences relativement modestes à Auguste-Delaune (moins de 10 000 spectateurs de moyenne lors de la saison du titre en 1962[28]) et la fin du système de partage des recettes avec le club visiteur grèvent sa trésorerie. Si l'harmonie du stade en souffre, la nouvelle tribune de 4 600 places, baptisée en hommage à Francis Méano, le jeune footballeur mort en 1953, est achevée en 1964[80]. Définitions. Il est vendu contre sa volonté au Racing club de Paris et gardera dès lors une rancune tenace contre le club[74]. En effet, lors de la dernière rencontre entre les deux équipes au Stade Pierre-Mauroy, Remi Oudin avait […] Décrit comme un « intellectuel » du football, ses conférences d'avant-match sont particulièrement réputées[56]. Bien que son équipe obtienne pour sa deuxième saison la promotion espérée en D1, il ne survit pas à la difficile saison 1966-1967. De 1963 à 1979, René Masclaux réalise toute sa carrière de défenseur au club, disputant 545 matchs sous le maillot rémois toutes compétitions confondues[75]. Seuls les principaux titres en compétitions officielles sont indiqués ici. Batteux connaît vite un grand succès à Reims : il remporte en treize saisons le championnat de France à cinq reprises (1953, 1955, 1958, 1960, 1962), ainsi qu'une Coupe de France (1958) et une Coupe latine (1953), et mène deux fois les Rémois en finale de la Coupe des clubs champions européens. 12/3. Le Forum du Stade de Reims et de ses supporters : Connexion S'enregistrer Évènements Le Forum sur Twitter Le Forum sur Facebook Publications Portail Ecrivez aux administrateurs Rechercher Suit une période sans grand éclat, qui ne permet pas au Stade de Reims de retrouver son lustre d'antan -malgré les ambitions de ses dirigeants- mais pendant lequel il se maintient sans trop de difficultés dans la première partie du classement[10]. La saison 2008-2009, au cours de laquelle la nouvelle enceinte est inaugurée officiellement, tourne pourtant au cauchemar. Il termine finalement au 3e rang, grâce notamment aux 30 buts de sa dernière recrue, le buteur venu de l'OGC Nice Just Fontaine. Ses membres pratiquent le football, mais aussi la marche, la gymnastique, le rugby, l'athlétisme et le cyclisme[a 1]. Un nouveau centre est installé à Blériot en 2015. Directeur communication et marketing : Benjamin PARROT Le club organise dans les années 1950 des tournées à l'étranger, où l'équipe évolue régulièrement devant plusieurs dizaines de milliers de spectateurs[a 9]. Fun Car’s soutient le Stade de Reims dans son sprint final ! Dans les années 1950, le Stade de Reims s'impose comme le principal club français, amassant en quelques années un palmarès prestigieux. Roessler, arrivé comme joueur et devenu entraîneur dès 1945, avait mené le club à son premier titre de champion de France en 1949 et à sa première victoire en Coupe de France en 1950. Malgré ces renforts, le club rémois peine à prendre le dessus sur l'US Deux-Vireux, champion de la Ligue du Nord-Est de 1929 à 1934[a 3],[u 3]. Le Stade de Reims recrute comme beaucoup d'autres clubs des « mercenaires » étrangers venus vivre de la pratique du football, alors même que les footballeurs sont toujours régis officiellement par un statut amateur[9]. Un an plus tard, le Stade de Reims termine sa quatrième saison en deuxième division à la sixième place, son meilleur classement jusqu'alors, et atteint les quarts de finale de la Coupe de France, où il doit s'incliner face à l'AS Saint-Étienne, une des meilleures équipes de l'élite. Le Stade de Reims connaît ses premiers déboires financiers importants à partir de 1962, date à laquelle les clubs du championnat décident de ne plus partager leurs recettes avec le club visiteur, comme c'était auparavant la règle à hauteur de 40 %. Après deux nouvelles saisons plus ternes, Phelipon est écarté en mars 1985 et remplacé par son attaquant Carlos Bianchi, revenu à Reims l'été précédent pour terminer sa carrière de footballeur. Jean-Claude Hérault préside à la renaissance du club. Après avoir réalisé toute sa carrière de joueur au club comme inter droit, il en devient l'entraîneur en 1950, en remplacement d'Henri Roessler, sur le départ pour l'Olympique de Marseille. Togo coach Claude le Roy is not sure if Kossi Agassa will play at the ANC after his house was vandalised. Reims … Marsella sólo empató con Reims por la Ligue 1. Il cède définitivement la présidence après la finale de la Coupe de France perdue par Reims en 1977[u 12]. Écusson du Stade de Reims Champagne » (1992-1999). La déroute française et l'armistice du 22 juin 1940 conduisent à l'organisation d'un championnat sous l'Occupation allemande. La direction de la section football est confiée … Der Zakarien part à la fin de la saison au Montpellier Hérault Sport Club et est remplacé par David Guion, le directeur du centre de formation. Après deux saisons moins réussies, le travail de Batteux porte ses fruits, bien aidé en cela par l'émergence du jeune meneur de jeu Raymond Kopa. Responsable financier : Florian PRAME. 33.6 ) Buts de l'intérieur de la surface 28 ( moy. Le budget prévisionnel d'un club s'établit en amont de l'exercice à venir et correspond à une estimation de l'ensemble des recettes et des dépenses prévues par l'entité. Le club reprend le nom « Stade de Reims » en juillet 1999. Seul accroc : leur élimination surprise en 32e de finale de la Coupe de France face aux amateurs du Stade Malherbe caennais, en janvier[17]. En 1999, alors que le club atteint le championnat National, il retrouve son nom original et un tout nouvel écusson est dessiné[8] par le designer Christophe Blottin. 11.55 ) Buts du pied gauche 8 ( moy. En 1973, il assiste au recrutement du fameux buteur argentin Carlos Bianchi (en remplacement de son compatriote Delio Onnis, parti à l'AS Monaco), qui marque plus de cent buts en quatre saisons de D1. Le premier match de foot professionnel auquel j’ai assisté était un Nîmes – Reims. Participation qui s’achève lors du 3ème tour de qualification face aux Hongrois de Fehérvar, après un 0 à 0 dans le temps réglementaire, les Rémois s’inclinent 1-4 aux tirs au but[40]. De retour dans l'élite dans les années 1970, le club rémois ne parvient pas à retrouver l'éclat du passé, malgré les exploits de l'Argentin Carlos Bianchi. 60 KIC. Son budget est d'environ cinq millions d'euros pour la saison 2002-2003, 6,5 millions en 2004-2005, huit millions en 2005-2006, dix millions en 2007-2008, quatorze millions en 2008-2009[92], saison qui se solde par une relégation en National. De retour en D2, Reims recrute René Vernier, un entraîneur d'expérience pour encadrer une équipe rajeunie. Jean-Pierre Caillot, dirigeant de l'ancien sponsor du club, le remplace alors avec l'ambition de retrouver à terme la première division. L'arrêt des activités de plusieurs clubs conduit les autorités à intégrer administrativement le Stade de Reims dans le groupe Nord de la première division, malgré un classement insuffisant pour être promu l'année précédente. Une dette supérieure à 50 millions de francs pousse finalement le Tribunal de grande instance de Reims à prononcer la liquidation judiciaire du club au mois d'octobre 1991[8]. Bien que, sportivement, le Stade de Reims n'ait théoriquement pas sa place en première division du championnat de France du fait de son classement en 1939, ses performances au cours des années de guerre, la fusion de plusieurs clubs[note 2] et le passage de la compétition de seize à dix-huit équipes lui permettent d'être finalement promu administrativement par la fédération[10]. Entre-temps, il évolue trois saisons au Real Madrid, le meilleur club d'Europe alors, qui débourse 52 millions d'anciens francs pour ses services[69],[note 5]. Reims est deuxième à 9 journées de la fin, mais ne gagne qu'un seul match pour terminer le championnat. C'est un entraîneur d'expérience de la D2, qui pendant trois saisons va obtenir des maintiens tranquilles, sans cependant pouvoir se mêler à la lutte pour la montée en Ligue 1. Robert Jonquet est le seul joueur à les avoir toutes disputées, tandis qu'Armand Penverne, Simon Zimny, Léon Glovacki, Jean Templin et Raymond Kopa n'en manquent qu'une seule. Les Rémois pourtant se réveillent : ils réalisent un redressement spectaculaire, terminant au 10e rang en championnat et ne sont éliminés de la coupe de France qu'en quart de finale par l'OGC Nice, après avoir éliminé notamment Montpellier et Rennes (4-3). La popularité croissante du football et de l'équipe augmente les affluences au parc Pommery, qui rassemble jusqu'à 5 000 spectateurs malgré des installations d'accueil très modestes[3],[2]. Son effectif est complément renouvelé et Jean-Claude Hérault réunit une équipe de bénévoles pour encadrer les activités du club, dont Daniel Duval puis Ghislain Bournel, à partir de mars, dirigent l'équipe. Le responsable de la formation, Robert Sarre, est également remercié. La promotion est manquée de justesse. Président de l'Association : Didier PERRIN Le 29 septembre 1910 est officiellement créée la « Société Sportive du Parc Pommery » (SSPP), club sportif de la maison de Champagne Pommery & Greno. Comme un symbole, la réserve remporte en 1948 le Championnat de France amateur pour la deuxième fois. Le Stade de Reims valide finalement sa promotion en Ligue 1 le 11 mai 2012, 33 ans après sa dernière participation au plus haut niveau national[37]. Lens 1 Stade de Reims 2 50' Attempt Attempt missed. 31 SPE. Rigueur, cohérence et développement sont les maîtres mots de la stratégie club. Il obtient deux promotions d'affilée en 1998 et 1999, puis un maintien pour sa première saison en National. Il reprend l'année suivante les rênes du SR, jusqu'à la nomination de Roessler en 1945. Installés dans leur stade flambant neuf, les Rémois connaissent les pires difficultés à suivre le rythme de la D2 durant trois saisons malgré le concours des entraîneurs qui se succèdent sur le banc : le Suisse Kielhotz, Garabedian, de Besvekony et l'Autrichien Erich Bieber. 79 POS. Hubert Fournier est lors de sa nomination en 2010 le 40e entraîneur de l'histoire du club depuis l’avènement du professionnalisme au début des années 1930, certains d'entre eux ayant réalisé plusieurs mandats. Son dernier match au stade Delaune est la défaite en demi-finale de Coupe de France. Lors de la saison suivante, Reims commence par 4 victoires d'affilée et prend la tête du championnat à l'issue de la 8e journée, pour ne plus la quitter. Elles en remportent d'ailleurs un certain nombre, notamment à New York (1970), à Bandung (1972), Port-au-Prince (1974, 1978)[a 13]. Très investi dans le club, il est à l’origine de la création du centre de vie Raymond Kopa à Bétheny. En 1929, la SSPP intègre la division d'honneur, le plus haut échelon de la Ligue du Nord-Est : 7e sur huit la première année, les joueurs de Pommery terminent au deuxième rang la saison suivante, derrière l'US Les Deux Vireux et prennent surtout pour la première fois l'avantage sur les rivaux locaux du Sporting Club rémois[6]. Il est alors toujours invaincu à Delaune depuis sa prise de fonction. Germain est nommé Président d'honneur. La direction de la section football est confiée à René Humbert, le gérant de la société. D'après les auteurs Perpère, Sinet et Tanguy, l'extraordinaire succès du club dans les années 1950 est dû à la clarté de la politique sportive, axée sur des objectifs bien définis, et à la continuité de la direction du club dans les secteurs clés, à savoir le président Henri Germain, l'entraîneur Albert Batteux et le fantastique meneur de jeu Raymond Kopa[a 9]. Un recrutement plus ambitieux en 1981 permet au Stade de se mêler à la lutte pour la montée : après une première saison prometteuse, Reims n'est devancé en 1983 que par Toulon, à la différence de buts. Distancé en championnat, le Stade est éliminé en février 1957 de la Coupe de France par les amateurs algérois de l'Union d'El Biar, vainqueurs 2-0 à Toulouse[17]. Mais la loi Évin, votée en 1991, interdit au club d'utiliser une bouteille de vin comme emblème, de sorte qu'il évolue jusqu'en 1998 sans logo officiel[41]. Ce soir, pour la demi-finale de coupe de la Ligue entre Reims et le PSG, le stade Auguste-Delaune affichera guichets fermés pour la première fois de la saison. Germain est remplacé par Serge Bazelaire, un médecin réputé de la ville né en 1922, ancien résistant, membre du Comité directeur du Stade de Reims depuis 1966 et bras droit du président depuis 1974. Lors de la saison 2018-2019, les rouge et blanc, se maintiennent sans trembler en terminant le championnat à la 8e place. Il dirige le club jusqu'en 1990, année où il sauve personnellement le club de la faillite. Le Stade de Reims avait cependant déjà investi les lieux depuis octobre 1934 en remplacement des installations modestes du parc Pommery. Les Rouges et Blancs concentrent leurs efforts sur cette compétition, comme l'illustre leur dixième place en championnat, et écartent successivement les Danois d'AGF Århus, les Hongrois du Budapesti Voros Lobogo et les Écossais d'Hibernian FC, se qualifiant ainsi pour la finale où ils retrouvent le Real Madrid. Un vrai club de football, au passé prestigieux. La disposition des équipes est en « WM », qu'on traduirait aujourd'hui par un « 3-2-5 » ou un « 3-2-2-3 ». Les Rémois connaissent deux bonnes saisons : en 1973-1974, ils finissent au sixième rang, notamment grâce aux 30 buts de leur nouveau goleador argentin Carlos Bianchi (venu remplacer Delio Onnis parti à l'AS Monaco), sacré meilleur buteur du championnat. Né de la réunion de plusieurs clubs, au premier rang desquels la Société sportive du parc Pommery, le Stade de Reims emménage alors en 1934 dans le nouveau stade vélodrome municipal, futur stade Auguste-Delaune. Le Breton, élu meilleur entraîneur de D2 en 1993 par France-Football, ne parvient pas à sauver les Rémois de la relégation et repart. Ça c'est ouais, oui d'Ardel la première euh mon premier petit achat que j'ai fait. Les « Ultrem », fondé en 1995, c'est le groupe le plus actif des supporters rémois de par leurs nombres (à l'extérieur comme à domicile) mais aussi par l'animation créée (chants, Le « Groupement officiel des supporters du Stade de Reims », fondé en 2006, il est le seul groupe de supporteurs non ultras, Le « Kop Mythique Rémois » ou "KMR", fondé en 2008, est un groupe familial à l'origine, associé au Reims Clan 1931, un groupe plus « ultra ». Étant donné les complications matérielles causées par la « drôle de guerre », la poule unique de première division est remplacée par un championnat en trois groupes régionaux, dont les vainqueurs étaient censés s'affronter en mai 1940. Président de l’association Stade de Reims depuis 2002, Didier Perrin est également co-actionnaire principal de la SA Stade de Reims. Après le bref intérim assuré par l'entraîneur de la réserve Franck Triqueneaux, le président nomme Marc Collat, qui sort de deux années comme directeur du centre de formation du Paris SG. Alors que l'ambition des dirigeants est de connaître une nouvelle promotion dans les deux ans, les rouges et blancs échouent en 1995 en barrages d'accession en National 2, face à l'ES Segré. Malheureusement les Rémois redescendent en National dès la saison suivante. Le club est présidé par Jean-Pierre Caillot depuis 2004 et dirigé par David Guion depuis juin 2017. Ne pouvant compter que sur un effectif décimé, Reims accumule les défaites et termine à la dernière place en 1979, avec seulement trois victoires à son actif[10]. Représentants français à la première édition de la Coupe des clubs champions européens en 1956, les coéquipiers du capitaine Robert Jonquet s'inclinent de justesse en finale face au Real Madrid. Omnisports et présidée par le comte de Polignac, l'association est composée dès sa création d'une section football (article 8 des statuts), dont la direction est confiée à René Humbert[7],[2]. Le destin tragique du brillant ailier Francis Méano, mort en 1953 à 22 ans, marque profondément le club, comme l'illustre le fait qu'une autre tribune du stade Auguste-Delaune ait été baptisée en son nom. Dans une optique proche du mouvement Ultra, le « Kop Pesage » traverse les années 1980 et 1990. Malgré ses succès, les affluences lors des matchs de l'équipe féminine restent confidentielles, de l'ordre de 200 à 300 spectateurs à domicile[f 4].